L’ONU Femmes apprécie les activités de la Première Dame S.E Angeline Ndayishimiye

L’ONU Femmes apprécie les activités de la Première Dame S.E Angeline Ndayishimiye

Ce mercredi 23 février 2022, la Première Dame et Présidente l’OPDD-Burundi S.E Angeline Ndayishimiye a reçu en audience Maxime Houinato, Directeur Régional d’ONU Femmes pour l’Afrique Orientale et Australe. Il était en compagnie de Damien Mama, Coordinateur Résident du systèmes des Nations Unies au Burundi et Janet Kem, Représentante d’ONU Femmes au Burundi.

Mr Maxime Houinato s’est dit satisfait des réalisations de la Première Dame de la République du Burundi dans différents domaines surtout celui de la promotion de la femme. Il a apprécié le travail d’organisation du forum de haut niveau des femmes leaders, dans lequel des sujets essentiels sont abordés. Ces sujets sont entre autres le planning familial, la lutte contre le SIDA, la prévention de la COVID 19, l’autonomisation des femmes etc …

Ce visiteur a également salué les initiatives de S.E Angeline Ndayishimiye qui témoignent de son courage et sa compassion, notamment à travers la construction du Centre de prise en charge des femmes souffrant de fistules obstétricales: “Nous constatons que la Première Dame exécute et soutient des programmes importants pour la promotion de la femme” 

Sur le Sujet de la lutte contre la malnutrition qui est un sujet qui tient à cœur la Première Dame du Burundi, le Directeur régional d’ONU Femmes pour l’Afrique Orientale et Australe a indiqué que le Burundi est un modèle à suivre au niveau de l’Afrique car “des progrès concrets, remarquables sont enregistrés dans la lutte contre la malnutrition chez les enfants de moins de 5 ans et les personnes âgées au Burundi.”

Prenant la parole, la Première Dame et Présidente de l’OPDD-Burundi S.E Angeline Ndayishimiye a vivement remercié l’ONU Femmes pour son soutien matériel et financier pour faciliter la mise en œuvre des programmes et initiatives visant la promotion de la femme au Burundi.

Elle a indiqué que son souhait pour le moment est “de rendre possible l’épanouissement socioéconomique de la femme burundaise, notamment en ayant accès au crédit, à l’information et à la formation.” 

La Première Dame exhorte l’ONU Femmes à accompagner cette belle mais périlleuse initiative.